Hugo-lebret

HUGO LEBRET-DEVISMES, BTS audiovisuel option son

20 ans, Nice

Peux-tu te présenter en quelques lignes ? 

Je m'appelle Hugo Lebret, j’ai 20 ans et je suis actuellement en deuxième année de BTS Audiovisuel, option Son, à ACFA Multimédia à Nice. Passionné par l’univers du son et de la production audiovisuelle, j’ai choisi cette formation pour allier théorie et pratique dans un cadre stimulant. En parallèle de mes études, je suis en alternance chez Aquila Event à Cannes, une expérience très enrichissante qui me permet d’appliquer concrètement les compétences acquises en cours, de découvrir le fonctionnement du milieu professionnel et de développer mon autonomie sur le terrain. 

 

Comment as-tu découvert ACFA et pourquoi l'avoir choisie ? 

J’ai découvert ACFA Multimédia un peu par hasard, à une période où je faisais face à plusieurs refus sur Parcoursup. En recherchant d’autres voies, je suis tombé sur cette école, et elle a immédiatement attiré mon attention. Ce qui m’a plu, c’est son approche très axée sur la pratique, son encadrement professionnel et la possibilité de se spécialiser dès le début. Le lien fort avec le monde du travail et les projets concrets proposés par l’école m’ont convaincu que c’était un bon choix pour construire une carrière solide dans l’audiovisuel. 

 

Peux-nous expliquer en quoi consiste ta formation et ce que tu préfères ? 

Ma formation vise à me préparer à devenir technicien du son dans l’audiovisuel. On y aborde des matières spécifiques comme la TES (technique d’équipement du son) ou la TMO (technique de mise en œuvre), qui combinent théorie et beaucoup de pratique autour du matériel de tournage, de l’enregistrement, du mixage et de la post-production. On étudie également des matières plus générales comme la physique, l’anglais ou encore le CAA (Culture Audiovisuelle et Artistique), qui élargissent notre culture sur le cinéma, la photo, la peinture ou encore la littérature. Personnellement, j’apprécie particulièrement la TMO pratique, où je me sens vraiment dans le vif du métier, ainsi que l’anglais, qui est essentiel pour évoluer dans ce domaine à l’échelle internationale. 

 

Quel métier souhaites-faire plus tard ? 

Mon objectif est de rester polyvalent dans le domaine du son, que ce soit en tournage ou en post-production. Ce que je préfère, c’est vraiment participer à un projet du début à la fin : être perchman sur le tournage, capter les sons dans les meilleures conditions, puis passer à la phase de montage son, de mixage et de sound design. J’aime pouvoir apporter une touche créative, jouer avec les ambiances sonores, créer des univers audio qui renforcent la narration. C’est cette diversité de tâches et ce mélange entre technique et création qui me passionne dans ce métier. 

 

Quels conseils donnerais-tu aux futurs étudiants ? 

Le meilleur conseil que je pourrais donner, c’est de ne jamais compter ses heures et de toujours rester curieux et passionné. Le domaine de l’audiovisuel demande beaucoup d’implication personnelle : plus on s’investit, plus on progresse. Il ne faut pas hésiter à expérimenter, à faire des projets en dehors des cours pour se faire la main. Et surtout, il est essentiel de développer un bon relationnel. Être sociable, savoir communiquer, travailler en équipe, c’est tout aussi important que la technique, car ce sont les échanges et les collaborations qui font avancer les projets et rendent l’expérience plus humaine et enrichissante.