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Orelsan, entre cinéma, son et renaissance

Entre le cinéma, les documentaires, les albums multi-platine et une tournée XXL, Orelsan est devenu bien plus qu’un rappeur : c’est une véritable machine à projets. Avec Yoroï, son long-métrage fantastique très attendu, un nouveau documentaire sur les coulisses du tournage et une série de concerts annoncés partout en France, il montre à quel point le son et l’audiovisuel sont au cœur de son univers créatif.

À Lille, ville culturelle et étudiante par excellence, cet exemple parle directement aux futurs techniciens du son, réalisateurs, monteurs ou sound designers. Chaque morceau, chaque film, chaque live d’Orelsan est une démonstration concrète de ce que l’on apprend au quotidien sur le campus d’audiovisuel de Lille : transformer une idée en expérience sonore et visuelle forte.

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Orelsan : quand le rap devient un laboratoire sonore

Si Orelsan s’impose dans le paysage musical, ce n’est pas uniquement grâce à ses textes. Ses projets récents montrent à quel point la production sonore et l’écriture audiovisuelle sont travaillées dans les moindres détails. Clips, films, documentaires, live : chaque format repose sur une bande-son précise, mixée, équilibrée et pensée pour raconter une histoire.

Sur des titres comme ceux de l’album Civilisation, l’artiste joue avec les ambiances, les textures et les effets pour créer une identité sonore immédiatement reconnaissable. Ce travail repose sur tout un écosystème de professionnels : techniciens du son, ingénieurs, monteurs, sound designers… exactement les métiers auxquels préparent les formations en audiovisuel et son à Lille.

Yoroï : un film fantastique porté par le sound design

Avec Yoroï, Orelsan franchit un cap en se lançant dans un long-métrage fantastique. Ce type de projet repose énormément sur le design sonore : bruitages, ambiances, voix traitées, nappes musicales, effets spéciaux audio… Tout doit contribuer à plonger le spectateur dans un univers cohérent.

Pour les étudiants lillois en BTS audiovisuel option son ou en formation technicien son, Yoroï est un cas d’école. On y retrouve toutes les étapes de la chaîne sonore : prise de son sur le tournage, postproduction, mixage cinéma, gestion des niveaux pour la diffusion en salle… C’est exactement ce qu’ils apprennent en cours et en studio, sur le campus.

Tournée 2026 : le live comme défi technique permanent

La grande tournée annoncée d’Orelsan, avec plusieurs dizaines de dates et des salles emblématiques, illustre un autre terrain de jeu pour les professionnels du son : le live. Son façade, retours, gestion des micros, effets temps réel, adaptation à chaque salle… Derrière un concert réussi, il y a une équipe technique complète.

Pour un étudiant qui se forme à Lille, ces projets montrent à quel point la maîtrise des consoles, des logiciels de MAO et des techniques de sonorisation est essentielle. Le public, habitué à des standards très élevés, attend un rendu digne des plus grands shows. C’est ce niveau d’exigence qui est visé dans les formations en métiers du son.

Lille, un terrain de jeu idéal pour apprendre les métiers du son

Le campus audiovisuel ACFA Lille profite d’un environnement culturel bouillonnant : salles de concert, cinémas, festivals, lieux de création… C’est un terrain parfait pour mettre en pratique ce que tu apprends en cours. Projets de fin d’année, tournages, captations live, résidences d’artistes : autant d’occasions de te confronter aux réalités techniques du métier.

Sur place, tu trouves des studios équipés, des plateaux de tournage, du matériel professionnel et des intervenants en activité qui connaissent les attentes du secteur. Ils t’accompagnent pas à pas pour faire évoluer ton niveau, du premier mix à la gestion complète de la chaîne son sur un projet ambitieux.

Des formations qui préparent aux réalités du marché

Que tu souhaites travailler en studio, sur des tournages, en radio ou sur scène, les formations proposées à Lille couvrent l’ensemble du spectre des métiers du son. Parmi elles, on retrouve notamment :

L’objectif ? Que tu puisses, demain, participer à des projets d’envergure comme ceux d’Orelsan : albums concept, tournées, films, séries documentaires… et que tu deviennes, toi aussi, l’un de ces pros de l’ombre sans lesquels rien ne sonnerait pareil.

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